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Délais de paiement : ce que vous pouvez encore faire pour éviter les sanctions

Les entreprises le savent : les délais de paiement ne sont plus un simple indicateur de gestion. C’est devenu un sujet de conformité, de réputation, et de sanction.
Avec l’entrée en vigueur de nouvelles obligations déclaratives et le durcissement du cadre réglementaire, il ne s’agit plus seulement de bien payer : il faut aussi pouvoir le prouver. Et pour celles et ceux qui n’ont pas encore mis en place les bons outils, le temps presse.
Alors, que pouvez-vous encore faire pour éviter les sanctions ? C’est le sujet de cet article.
Délais de paiement : un sujet devenu très sérieux
Chaque année, la clôture des comptes devient un véritable marathon pour les équipes financières. Entre pression des délais, exigences de conformité et tâches répétitives, la charge de travail explose, rendant toute autre activité secondaire.
Une réglementation qui s’est durcie
Au Maroc, le cadre légal s’est clairement renforcé. Le non-respect des délais de paiement n’est plus seulement une anomalie administrative, c’est un manquement passible de sanctions financières.
Depuis la mise en application de la loi 69.21, les entreprises sont soumise à la déclaration des retards de paiement. Et cette obligation s’accompagne de sanctions en cas de non-transmission, de retard ou de fausse déclaration.
Bref, il ne s’agit plus simplement de “faire au mieux” : il faut suivre, documenter, déclarer.
Les entreprises sous pression
Ce durcissement intervient dans un contexte tendu. D’un côté, les fournisseurs – souvent PME ou TPE – sont asphyxiés par les retards de paiement, ce qui alimente les défaillances en chaîne. De l’autre, les grandes structures doivent préserver leur image, éviter les pénalités et rester en conformité.
Ajoutez à cela un risque réputationnel croissant : aujourd’hui, être identifié comme mauvais payeur, c’est fragiliser sa marque employeur, ses relations commerciales et sa capacité à attirer des partenaires.
Trop tard pour se mettre en règle ? Non, mais il est temps d’agir
Avec une première vague de sanctions désormais bien réelle, certaines entreprises prennent enfin la mesure du sujet. Mais beaucoup sont encore dans le flou. Entre méconnaissance de la loi, sous-estimation des risques ou processus internes non fiabilisés, le retard peut vite devenir problématique.
La bonne nouvelle ? Il est encore temps d’agir… à condition de faire les bons choix.
Ce qu’il ne faut surtout pas faire
Quand la pression monte, les mauvais réflexes prennent souvent le dessus. Voici trois attitudes à éviter à tout prix :
- Attendre la dernière minute : c’est le piège classique. On repousse, on repousse… puis on se retrouve à déclarer dans l’urgence, sans vérification suffisante ni données consolidées.
- Monter une déclaration manuelle sous Excel : bricoler un tableau, collecter les infos à la main, faire des moyennes approximatives… Cela peut sembler pratique, mais c’est risqué, chronophage et non fiabilisé.
- Ignorer les écarts internes : parfois, les délais de paiement réels dépassent les conditions contractuelles sans que personne ne le voit. Ne pas les détecter à temps, c’est prendre le risque de fausse déclaration… et de sanctions.
Ce que vous pouvez encore faire (et qui fait la différence)
Quelques leviers simples peuvent changer la donne, à condition de les activer maintenant.
- Centraliser toutes les factures fournisseurs : c’est la base. Sans accès unifié et structuré aux données, impossible de produire une déclaration fiable.
- Calculer automatiquement les délais de paiement réels : en se basant sur les dates de facturation et de règlement, et non sur des approximations ou des hypothèses.
- Identifier rapidement les points de non-conformité : retards systématiques, pratiques divergentes selon les services, fournisseurs à risque… plus ces informations sont accessibles, plus vous pouvez anticiper.
KONTA, la solution pour rester dans les clous
Quand le cadre réglementaire se durcit, il ne suffit plus d’aligner les bonnes intentions. Il faut des outils capables de suivre la cadence, de fiabiliser les données et d’automatiser ce qui peut l’être. C’est exactement ce que permet KONTA : transformer une contrainte réglementaire en un levier de performance.
Suivi des délais de paiement
Avec KONTA, plus besoin de faire des tableaux croisés dans l’urgence. Les délais de paiement sont calculés automatiquement à partir des factures réellement émises et payées.
La plateforme détecte les retards et les écarts sans action manuelle. Résultat : vous avez à disposition un reporting fiable, structuré, prêt à être transmis à l’administration — sans extraction bricolée, ni ressaisie à la dernière minute.

Anticiper au lieu de réparer
Trop souvent, les problèmes sont détectés après coup. Une mauvaise surprise sur un trimestre, une déclaration incomplète ou erronée, et les sanctions tombent.
KONTA inverse la logique : les dérives sont repérées en temps réel. Vous pouvez identifier les services ou les fournisseurs qui posent problème, ajuster vos pratiques de paiement, et surtout, agir avant que cela ne vous coûte.
Rester conforme sans perdre de temps
Déclarer, c’est une obligation. Mais le faire efficacement, c’est un avantage.
KONTA vous permet de rester dans les clous sans y consacrer une demi-journée tous les trimestres. La conformité devient un réflexe intégré au quotidien, pas une urgence à traiter en catastrophe. Et en plus de vous éviter des pénalités, vous gagnez en fiabilité, en transparence, et en crédibilité.
Le cadre s’est durci. Les sanctions sont là. Et la pression sur les directions financières ne va pas diminuer.
Mais ceci n’est pas une fatalité. En structurant vos données, en automatisant les bons leviers, et en anticipant vos déclarations, vous pouvez transformer une contrainte réglementaire en un levier de rigueur, et même de compétitivité.
Alors non, il n’est pas trop tard. Mais il est clairement temps d’agir.